Archives de catégorie : Chaos

On ne sait pas trop…

Bon, sinon…   

… le week end dernier, j’ai écrit beaucoup de merde. Comme à mon habitude. Et je recommande une fois de plus de lire le blog de l’Elfe, qui est infiniment plus intelligent. Par exemple, avec Le Mythe de La Pureté. … Continuer la lecture

… le week end dernier, j’ai écrit beaucoup de merde. Comme à mon habitude.

Et je recommande une fois de plus de lire le blog de l’Elfe, qui est infiniment plus intelligent.
Par exemple, avec Le Mythe de La Pureté.

Edit du 03/04/2012 : Quand je dis « beaucoup de merde », je pense à un article posté le 23/04 de très exactement 7514 mots, qui m’a occupé pendant près d’une journée, en partie inspiré par ma lecture de plusieurs articles du blog précédemment cité. Je me rends compte (à mesure que j’avance dans la lecture du dit blog), que c’était totalement dépourvu d’intérêt, et décide donc de ne plus le faire apparaître. A la place, je vous enjoins encore, très vivement, à cliquer sur le lien ci-dessus. Et lire tout le blog.

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Bovines   

Il y a trois semaines, j’ai vu Bovines. J’ai bien aimé parce que je ne me suis pas ennuyé, et parce que j’aime le concept d’un film sans humain, sans scénario, sans commentaire humain et sans musique. Bref, un film … Continuer la lecture

Il y a trois semaines, j’ai vu Bovines. J’ai bien aimé parce que je ne me suis pas ennuyé, et parce que j’aime le concept d’un film sans humain, sans scénario, sans commentaire humain et sans musique. Bref, un film privé, de manière exceptionnelle et quasiment unique, de cet anthropocentrisme omniprésent. Un concept auquel je pense depuis des dizaines d’années, un truc qui m’a toujours choqué, de me dire que personne n’est capable de raconter une histoire dont les acteurs ne sont pas des humains (ou au mieux, des animaux dotés d’une pensée humaine). J’étais donc heureux de me dire que ça existait enfin. Et d’autant plus que ça portait sur un animal qui n’a rien d’excitant dans l’inconscient collectif. Bref, un animal sur lequel personne (ou presque) ne veut s’attarder, parce que ça l’arrange bien.

J’étais donc content de l’existence de ce film. J’étais content d’aller le voir. Et j’ai été content de le voir. Tout comme je suis content de voir des animaux quand je me promène, qu’ils vivent dans des champs ou pas. J’étais content que ce soit l’idée d’un urbain, non-végétarien*, et qu’elle lui soit venue sans vraie préméditation, sans trop savoir vers quoi ça le mènerait. Et j’étais content de me dire que des gens qui ne l’auraient pas fait autrement, allaient enfin passer un peu de temps à s’intéresser à ces animaux et à leur vie, la vraie. Qu’ils allaient essayer de voir un peu plus loin que le bout de leur nez. Ou plutôt, d’enfin détacher le regard de leur propre nombril. (Et puis content aussi d’assister à la naissance d’un veau, et la façon dont il apprend à marcher, ce qui ne m’était jamais arrivé jusqu’alors.) Bref, j’étais content.

Mais quand je vois la quantité de critiques pleines de paluchage sur l’onirisme, le surréalisme du film, le talent incroyable du réalisateur, sa manière si unique de « voir autrement la réalité » ou je ne sais quoi, les métaphores intrinsèques sur l’humanité, un prétendu « flirt avec l’anthropomorphisme » pour un film qui se contente de filmer des animaux sans rien y ajouter, et toutes ces incroyables interprétations pour un film dont l’oeil est fondamentalement neutre, qui toutes ressentent le besoin de tout raccrocher à la condition humaine… Je suis profondément triste.
On vous montre un animal, vous n’arrivez pas à y voir autre chose qu’un Homme.

Et ce sont les végés qui font de l’anthropomorphisme…

*Ce dont le film ne pouvait donc pas être accusé, le végétarisme étant une maladie mentale vicieuse, et le fait d’insinuer le doute et la culpabilité dans l’esprit du carnivore étant un acte de cruauté mentale passible de lapidation.

Note : Apparemment, il a quand même usé de quelques artifices. Ca me déçoit.

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Une bien triste affaire   

Effroyable nouvelle : J’apprends à l’instant que le Commissaire Moulin vient d’être abattu par le terrible hidalgo Don Quijote De La Mancha.

Effroyable nouvelle : J’apprends à l’instant que le Commissaire Moulin vient d’être abattu par le terrible hidalgo Don Quijote De La Mancha.

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Pensée alcoolisée, usée, désabusée, délavée.   

Parfois, souvent, je me dis qu’il aurait été préférable que je ne naisse pas. Mais si je n’étais pas né, je n’aurais pas pu être conscient de l’existence du monde. Si je n’étais pas né, pour moi, le monde n’aurait … Continuer la lecture

Parfois, souvent, je me dis qu’il aurait été préférable que je ne naisse pas.
Mais si je n’étais pas né, je n’aurais pas pu être conscient de l’existence du monde. Si je n’étais pas né, pour moi, le monde n’aurait pas été. Le seul monde possible, pour moi, est un monde où j’existe. Il n’y a pas de monde sans moi.
Et si les autres existent, c’est aussi le cas pour eux. Il n’y a, pour eux, pas de monde sans eux. Or leur vie n’est pas synchronisée avec la mienne. Ils sont nés (naissent/naîtront) avant ou après moi. Ils meurent (sont morts/mourront) avant ou après moi. Mais il n’y a pas de monde sans eux. Donc nos mondes ne sont pas les mêmes, sont incompatibles, exclusifs, nous ne vivons pas dans le même monde.

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Ah non, mais…   

… je viens de réaliser qu’il y a peut-être, parfois, des visiteurs que je ne connais pas et qui sont de vrais visiteurs (pas des bots de pub ni des zoophiles), qui tombent sur ce blog, lisent ou regardent avec … Continuer la lecture

… je viens de réaliser qu’il y a peut-être, parfois, des visiteurs que je ne connais pas et qui sont de vrais visiteurs (pas des bots de pub ni des zoophiles), qui tombent sur ce blog, lisent ou regardent avec attention des trucs, et ne repartent pas déconfits au bout de cinq secondes. Peut-être.
Non mais honnêtement, vous, là, si vous existez, et que vous ne faites pas partie de mes 6 lecteurs (+/- 3) que je connais personnellement… Sérieusement, cassez-vous. Dans votre propre intérêt.

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A bien y réflechir…   

Je crois que le vrai problème d’internet, c’est que c’est beaucoup trop gros, on ne peut pas tout lire.

Je crois que le vrai problème d’internet, c’est que c’est beaucoup trop gros, on ne peut pas tout lire.

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En résumé.   

Aujourd’hui, j’ai regardé une vidéo. « Tiens, une vidéo. » Y avait une voix off qui annonçait ce que les personnages allaient dire. « Oh, une voix off vient d’annoncer ce que j’allais dire. » C’était rythmé. « Séquence suivante : C’est rythmé. » Y avait … Continuer la lecture

Aujourd’hui, j’ai regardé une vidéo.
« Tiens, une vidéo. »
Y avait une voix off qui annonçait ce que les personnages allaient dire.
« Oh, une voix off vient d’annoncer ce que j’allais dire. »
C’était rythmé.
« Séquence suivante : C’est rythmé. »
Y avait des effets d’images qui défilent.
« Ti-ti-ti-ti-ti. »
Ca se voulait drôle.
« Aha, c’est drôle. »
Et c’était court.
« Voilà, c’est fini. »
Bref, j’ai vu une énième parodie de Bref, et ça m’a gravement saoulé.

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Esprit de Noël   

C’est quoi, la meilleure mort ? – Mourir sans s’y attendre et sans s’en rendre compte, sans jamais pouvoir « faire le point », sans pouvoir se dire « j’ai vécu » ? – Mourir trop vieux ou souffrant, déprimé, las ou malheureux, et … Continuer la lecture

C’est quoi, la meilleure mort ?
- Mourir sans s’y attendre et sans s’en rendre compte, sans jamais pouvoir « faire le point », sans pouvoir se dire « j’ai vécu » ?
- Mourir trop vieux ou souffrant, déprimé, las ou malheureux, et donc soulagé de pouvoir enfin mettre fin à ce calvaire ?
- Mourir contre sa volonté, en voulant vivre, dans un paroxysme d’horreur, enragé et terrifié par l’impensable ?

Quand j’avais 13 ans, à la période de Noël (la veille ou le lendemain, je ne sais plus), je m’étais dit que le but de la vie, c’était sans doute d’apprendre à ne plus avoir peur de la mort. (Par ailleurs, quelques heures plus tard, j’avais « réglé » le problème en me disant que finalement, naître à partir de rien -et savoir que j’avais des cousins pas encore conçus qui allaient naître-, c’est tout aussi impensable et monstrueux que mourir.)
Mais je me demande si c’est possible. On peut ne pas être terrifié par la mort dans l’absolu, sans pourtant en refouler la pensée, mais je ne suis pas sûr qu’on puisse affronter l’instant précis de la mort sans aucune peur, à moins peut-être d’avoir l’esprit très embrumé à ce moment-là.
Et je me demande s’il a existé un jour une personne sur Terre à avoir pensé, à son dernier instant : « J’ai eu une belle vie, je ne regrette rien, et je suis heureux de mourir maintenant. Pouët. ». J’en doute. Je ne crois pas qu’il y ait de bonne mort.

Le plus chiant dans tout ça, c’est que l’instant le plus terrifiant de la vie se situe très exactement à sa fin. Pas moyen de s’en débarrasser avant, pour pouvoir souffler et construire ensuite. Le dernier instant gâche tout.
Le seul avantage de mourir tôt, c’est peut-être d’éviter de vivre la mort des autres.

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Orgueil   

On enfante pour ressentir un peu de bonheur, atténuer sa peur de la mort, et donner un peu de sens à sa vie. Le nouveau venu, qui jusqu’alors n’existait pas, ne désirait rien et n’avait besoin de rien, est catapulté … Continuer la lecture

On enfante pour ressentir un peu de bonheur, atténuer sa peur de la mort, et donner un peu de sens à sa vie.
Le nouveau venu, qui jusqu’alors n’existait pas, ne désirait rien et n’avait besoin de rien, est catapulté dans un univers absurde, injuste et vain, et, désormais condamné à mort, sera forcément tenté d’en faire autant.
Au fond, enfanter, c’est pratiquer une espèce de vente pyramidale.

Note 1 : L’adoption ne vient naturellement à l’esprit de personne.
Note 2 : On enfante en admettant implicitement qu’on sera un bon parent, qu’on ne transmettra que de bonnes choses, qu’il est indispensable qu’une part (majeure) de nous soit transmise (et notamment la part génétique), et que l’enfant, une fois adulte, sera bon, sain de corps et d’esprit, et mènera une vie heureuse (et qu’il aura une empreinte écologique négative…). Un résultat qui n’est pourtant obtenu qu’une fois sur 10 millions (et encore…).

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Et puis…   

… j’ai marre de ce que je veux, je vous ferais dire ! J’ai pas forcément besoin d’être pertinent, juste et équitable dans ce que j’ai marre. Alors hein, bravo, bon voyage, merci Bernard. Sans déconner.

… j’ai marre de ce que je veux, je vous ferais dire ! J’ai pas forcément besoin d’être pertinent, juste et équitable dans ce que j’ai marre.
Alors hein, bravo, bon voyage, merci Bernard. Sans déconner.

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Déos et débats   

Les drames, les accidents, les événements choquants, imprévisibles, bouleversants ont aussi leur intérêt dans une vie. On ne peut pas remplir une vie avec uniquement des événements intensément heureux… Mariages ? Naissances ?… Et quoi d’autre ? Le reste, en … Continuer la lecture

Les drames, les accidents, les événements choquants, imprévisibles, bouleversants ont aussi leur intérêt dans une vie. On ne peut pas remplir une vie avec uniquement des événements intensément heureux… Mariages ? Naissances ?… Et quoi d’autre ? Le reste, en tout cas, n’est pas accessible à beaucoup de monde. Non, on ne peut pas remplir une vie que d’événements intensément heureux. Surtout que plus on les multiplie, plus ils perdent de leur intensité. On finit par s’y habituer, s’en lasser. Pour remplir une vie, il faut aussi des drames, des événements choquants négatifs qui créent la surprise, l’impensable, la colère, l’angoisse, l’émotion, le changement. Et même la souffrance. La souffrance a aussi son charme, elle ancre dans quelque chose qui ressemble à du réel, donne l’impression d’exister, de se différencier, de se définir. Ou d’avoir plus vécu que les autres. On peut en tirer une certaine fierté, de la beauté. Un certain pouvoir aussi, quand on réussit à la faire entrevoir aux autres, les faire réagir, les faire s’apitoyer sur soi, ou les faire nous admirer. Les attirer à soi, en somme. (Bien sûr, il faut déjà y survivre.)
Même artistiquement, la souffrance est associée à quelque chose de positif. Les films, les livres tristes, qui réussissent à provoquer la tristesse sont encensés, comme si… Oui, comme si le public prenait du « plaisir » à ressentir cette tristesse. Le plaisir d’exister. On peut faire preuve d’un certain snobisme devant les « happy end ». « Les happy end, c’est pas la vraie vie… Moi, je vaux mieux que ça, j’aime bien les films et les histoires tristes, même si c’est dur. »… Hé oui, la tristesse, la souffrance est ressentie comme un « divertissement », une valeur positive, qu’on apprécie de voir dans une oeuvre, ou même dans un documentaire. On aime être au courant de la souffrance. La partager, pour se prouver… qu’on en est capable ? Pas forcément pour agir, non, juste pour ressentir.

La vraie horreur, c’est peut-être juste l’absence. Une vie d’absence, sans bonheurs ni malheurs.

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Indubitablement   

Démonstration en trois temps : – Seuls les suicidaires savent qu’ils vivront un jour le seul rêve qu’on ne peut pas regretter ni détruire. – Tous les autres savent qu’ils vivront un jour le seul drame dont on ne peut … Continuer la lecture

Démonstration en trois temps :
- Seuls les suicidaires savent qu’ils vivront un jour le seul rêve qu’on ne peut pas regretter ni détruire.
- Tous les autres savent qu’ils vivront un jour le seul drame dont on ne peut pas se relever.
- Donc les suicidaires sont certainement les personnes les plus heureuses au monde.

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Donner la vie ♥   

- Naître – Pour grandir – Pour avoir un travail aliénant – Pour mener une vie morne – Pour fonder une famille – Pour… … avoir des enfants – Pour qu’ils grandissent – Pour qu’ils aient un travail aliénant – … Continuer la lecture

- Naître
- Pour grandir
- Pour avoir un travail aliénant
- Pour mener une vie morne
- Pour fonder une famille
- Pour…
… avoir des enfants
- Pour qu’ils grandissent
- Pour qu’ils aient un travail aliénant
- Pour mener une vie morne
- Pour fonder une famille
- Pour…

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Avertissement postventif   

Juste comme ça : Quand vous venez sur ce blog, pour savoir vraiment l’apprécier, ayez l’esprit libre; prenez soin de vous dépouiller de tout préjugé. Et quand je dis « préjugé », je veux dire, euh… référence culturelle de tout ordre. En … Continuer la lecture

Juste comme ça : Quand vous venez sur ce blog, pour savoir vraiment l’apprécier, ayez l’esprit libre; prenez soin de vous dépouiller de tout préjugé.
Et quand je dis « préjugé », je veux dire, euh… référence culturelle de tout ordre. En somme, essayez d’oublier tout ce que vous avez déjà pu voir ou entendre, comme… des blogs BD, et même des blogs tout court, ou des bandes dessinées, ou n’importe quel type de dessins d’ailleurs, des peintures jusqu’au gribouillis, et puis tout ce que vous avez pu lire, comme des blogs, donc, mais aussi, d’autres choses, comme des livres, des revues, et même des phrases, ou des mots. Ou même des gens, oubliez que vous avez déjà parlé un jour à des gens.
Bref, venez neufs, innocents, purs, tels un nouveau né. Ca vous permettra de disposer d’une échelle de comparaison qualitative parfaitement objective, et, pourquoi pas, de trouver que, oh, la, la, c’est pas si mal que ça finalement, ici (par rapport à la dernière fois… Oh, et puis non, tiens, oubliez aussi que vous êtes déjà venus.).

Anniecordialement, pouët.

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Je suis désolé, je n’ai trouvé aucun titre satisfaisant pour cet article sans intérêt.   

Parfois, quand je lis un fait divers, ça me donne envie de pleurer. Ca n’arrive pas souvent, mais ça arrive. (Tellement pas souvent que je le remarque quand ça arrive.). Ca n’est pratiquement jamais lié au nombre de morts, ce … Continuer la lecture

Parfois, quand je lis un fait divers, ça me donne envie de pleurer. Ca n’arrive pas souvent, mais ça arrive. (Tellement pas souvent que je le remarque quand ça arrive.). Ca n’est pratiquement jamais lié au nombre de morts, ce sont rarement les événements les plus dramatiques, guerres, massacres, famines et autres, lesquels, finalement, sont un peu trop abstraits pour m’émouvoir. Pas assez vraisemblables, sans doute. Plutôt des morts accidentelles d’enfants, en fait. Du genre ça (Lutain, la vidéo de merdre qui ne sert à rien… L’article non plus, d’ailleurs.). Ce que je trouve dramatique, c’est que ma réaction ne soit pas systématique. Que ça arrive, tout le temps, et qu’on s’en foute un peu, parce que « la vie continue. ». Sauf que la vie ne continue pas pour tout le monde.*
En vérité, je trouve tout à fait effroyable qu’on puisse continuer à vivre après la mort de quelqu’un. C’est absurde.
(Partant de là, effectivement, je trouve tout aussi absurde que l’espèce humaine ait subsisté après avoir acquis la conscience de soi.)

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Note 1 : Un strip est en cours. Il aurait dû se faire en une petit heure, mais comme à mon habitude, j’ai pas pu m’empêcher de chiader mes gribouillis, pour en faire… des gribouillis chiadés. Je vais tenter de le finir cette semaine. Cette annonce est totalement indispensable.
Note 2 : Le « Episode 17-12  » est au point mort. Je suis pétrifié à l’idée de devoir dessiner des animaux en perspective. Les premières esquisses n’ont pas abouti. M’entraîner n’a rien changé. Mon moi récalcitre. Il va falloir que je ruse.

*« Ah, well, life goes on. » people say when someone dies. But from the point of view of the person who has just died, it doesn’t. Terry Pratchett, The Last Hero.

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