Archives de l’auteur : Personne

Retenue   

Si je livrais entièrement mon sentiment profond et argumenté sur la vie, sur le monde, sur la réalité, je pense que je pourrais tuer des gens, simplement avec mes mots. Il reste quelque chose en moi qui me dit que … Continuer la lecture

Si je livrais entièrement mon sentiment profond et argumenté sur la vie, sur le monde, sur la réalité, je pense que je pourrais tuer des gens, simplement avec mes mots.
Il reste quelque chose en moi qui me dit que ça ne serait peut-être pas très bien. Alors, par prudence, je me retiens.

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Comment comprendre les femmes ?   

Mode d’emploi pour comprendre une femme en quatre étapes : 1) Lui parler et lui poser explicitement vos questions 2) Ecouter ses réponses 3) Ecouter vraiment ses réponses 4) Ecouter vraiment SES réponses, pas les vôtres Fonctionne également avec toute … Continuer la lecture

Mode d’emploi pour comprendre une femme en quatre étapes :
1) Lui parler et lui poser explicitement vos questions
2) Ecouter ses réponses
3) Ecouter vraiment ses réponses
4) Ecouter vraiment SES réponses, pas les vôtres

Fonctionne également avec toute autre personne (quelles que soient ses caractéristiques, physiques ou autres) qui vous semble terriblement mystérieuse bien qu’elle soit capable de discuter dans une langue que vous maîtrisez.

Adaptable à tout individu sensible qui exprime ses émotions par divers biais, à condition de bien insister sur le principe de l’écoute.

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Supérieur ou inférieur ?   

Cher humain qui me lis, si tu penses être « supérieur aux animaux » parce qu’humain, sache que tous les individus conscients et sensibles, quelle que soit leur espèce, en ont autant à ton égard. Les écureuils se savent supérieurs à toi, … Continuer la lecture

Cher humain qui me lis, si tu penses être « supérieur aux animaux » parce qu’humain, sache que tous les individus conscients et sensibles, quelle que soit leur espèce, en ont autant à ton égard.

Les écureuils se savent supérieurs à toi, humain, parce que tu es lent et incapable de grimper à un arbre, incapable de les attraper. Ils te savent dangeureux et violent, comme n’importe quelle brute psychopathe, mais être une dangereuse brute psychopathe ne fait que confirmer ton infériorité.
(De la même manière que jamais il ne te viendrait à l’esprit, à toi, humain, de dire qu’un ours, un lion, un tigre ou un requin est supérieur à toi. Pourtant en face à face, si tu n’y es pas préparé, c’est toi qui seras en danger, pas lui. Mais tu te défendras, parce que tu penses que ta vie vaut plus que la sienne.
Et de la même manière, il ne te viendra pas à l’esprit non plus de dire qu’un humain plus violent, plus cruel, plus puissant ou plus riche que toi t’est supérieur, qu’il a donc tout légitimité morale à profiter de toi. Qu’il ait le pouvoir de te menacer, t’asservir ou te détruire, ne lui donne pas une valeur morale supérieure.)

Les lapins se savent supérieurs à toi, humain, parce que tu ne sais pas creuser un terrier, tu ne sais pas courir, tu ne sais pas te cacher, tu ne sais pas rester discret. Tu hurles, tu es lent, tu es gros, tu es maladroit. Ton infériorité est évidente.

Les canards se savent supérieurs à toi, humain, parce que tu nages mal, tu ne sais pas voler, tu restes cloué au sol, tu ne sais même pas bondir.

Les truites se savent supérieures à toi, humain, parce que tu ne sais pas respirer sous l’eau, tu ne sais pas te mouvoir dans un liquide à une vitesse acceptable. Sous l’eau, tes sens sont terriblement atrophiés. Tu ne survis même pas en dessous de quelques dizaines de mètres de profondeur. Tu es ridicule.

Bien sûr, pour eux, comme pour tous les autres animaux, tu es aussi dangereux et menaçant, tu peux être brutal, violent, barbare, c’est à peu près certain. Et sournois aussi. Parfois diabolique. Et dévastateur. Autant de caractéristiques qui renforcent ton infériorité.

Et surtout, n’importe quel individu sensible et conscient, de n’importe quelle espèce, sait parfaitement que sa propre vie est la chose la plus importante au monde, que le monde n’existe qu’à travers ses propres yeux, ses propres sens. Que le monde existe parce qu’il est en vie pour le voir. Que sa propre vie a donc une valeur infinie. Que sa propre vie, et la vie des individus de sa famille, est plus importante que tout. S’il faut tuer un individu menaçant et violent pour survivre, alors c’est le choix logique et juste qu’il fera.
N’importe quel individu sensible, de n’importe quelle espèce, sait que sa propre vie a plus de valeur que la vie d’un individu menaçant.
N’importe quel animal sensible et conscient (humain ou non-humain) sait que sa propre vie a plus de valeur que la vie d’un humain qui le menace.

Chercher à donner une valeur à la vie d’autrui, à savoir qui est inférieur ou qui est supérieur, pour décider d’en tirer des choix moraux sur des critères autres que la capacité à souffrir et la volonté de vivre, c’est absurde. C’est un sophisme. C’est un anti-raisonnement. C’est un mensonge.

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Peut-on changer le monde ?   

Réponse à la question « Peut-on changer le monde ? » en une vidéo de trois minutes nommée « Sasquatch Festival 2009″. Si vous êtes « normalement constitué.e », vous allez probablement voir comme un moi un type complètement ridicule, qui gesticule n’importe comment, seul … Continuer la lecture

Réponse à la question « Peut-on changer le monde ? » en une vidéo de trois minutes nommée « Sasquatch Festival 2009″.

Si vous êtes « normalement constitué.e », vous allez probablement voir comme un moi un type complètement ridicule, qui gesticule n’importe comment, seul au milieu d’un grand vide, qui n’a vraiment aucun talent pour la danse. Et vous allez comme moi ressentir un léger malaise, avoir honte pour lui et espérer qu’il arrête bien vite de s’exposer de la sorte, parce que ça ne sert vraiment à rien. Son comportement reste exactement le même du début à la fin de la vidéo.

Et pourtant, si vous êtes « normalement constitué.e », vers le milieu de la vidéo, vous allez probablement ressentir comme moi, comme la majorité des spectateurs de la vidéo et des personnes présentes ce jour-là quelque chose de complètement différent pour ce même individu, sans qu’il change quoi que ce soit à son comportement.

Et c’est justement parce que vous êtes « normalement constitué.e », comme la majorité des gens de la planète, qui expérimenteront probablement le même enchaînement de ressentis que le vôtre dans le même ordre face à la même situation, que cette scène est possible, et qu’elle répond à la question « Peut-on changer le monde ? ».

Bonne vidéo.

Sasquatch Festival 2009

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Flexinawak   

Le « flexitarisme », c’est un mot qui a été inventé au début des années 2010 parce que… on ne sait pas. Ca a été inventé, en tout cas. Ca sert à désigner le fait d’être végétarien.ne, mais pas tout le temps. … Continuer la lecture

Le « flexitarisme », c’est un mot qui a été inventé au début des années 2010 parce que… on ne sait pas. Ca a été inventé, en tout cas. Ca sert à désigner le fait d’être végétarien.ne, mais pas tout le temps.
Pas tout le temps… Donc ça pose certaines questions…
Quelles sont les motivations ? A quelle fréquence peut-on s’autoriser de manger de la viande pour mériter l’étiquette de flexitarien.ne ? Quels animaux s’autorise-t-on à manger ?
Sous quelles contraintes cédons-nous à la consommation de viande ? Pression sociale ? Faim et impossibilité de trouver des alternatives dans l’immédiat ? Simple envie ? Dès qu’on on en a sous les yeux ?
Est-on flexitarien.ne si on mange de la viande une fois par mois ? Une fois par semaine ? Trois fois par semaine ? A seulement deux repas par jour (au lieu de trois) ?
Si un mangeur de viande invite un flexitarien à manger chez moi ou au resto, ou s’il l’invite chez lui, est-ce qu’il doit prendre en compte son végétarisme partiel ou est-ce qu’il doit se rappeler que le flexitarien est flexible et le pousser à manger/cuisiner de la viande ? A priori, la flexibilité doit servir à quelque chose…
Toutes ces questions restent entières, il semble que chaque flexitarien.ne ait ses propres réponses.

Bref, concrètement, le/la flexitarien.ne, c’est quelqu’un qui ne mange pas de la viande à tous les repas.
Et si tout le monde sur Terre était flexitarien, ce serait une transformation tellement radicale de la société et de nos comportements de consommateurs que… tout serait très exactement identique à la situation actuelle.
C’est un concept formidable.
Grâce au flexitarisme, la révolution est en marche !
Ah tiens, ça y est, elle vient juste de se terminer.

Voilà…

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Et maintenant quelque chose de complètement différent :
En ce qui me concerne, je tiens à dire que je ne suis pas un défenseur de la peine de mort. Je pense que les défenseurs de la peine de mort sont des fous dangereux, qui menacent la société avec des idées violentes et néfastes. La violence entraîne la violence, la haine entraîne la haine. Je ne peux pas accepter qu’on légitime la peine de mort, qu’on punisse le meurtre par le meurtre, qu’on se transforme collectivement en meutriers. Défendre la peine de mort est immoral.

Par contre, je pense aussi que s’opposer radicalement à la peine de mort est trop extrême. C’est un extrême de la non-violence dans lequel je ne me reconnais pas. C’est dogmatique et moralisateur. Tout n’est pas noir ou blanc. Il faut rester modéré et raisonnable. Ne pas céder à l’hypersensibilité ou à la phobie de la mort.

Je suis contre la peine de mort, sauf une fois de temps en temps, ça ne peut pas faire de mal. Face à la peine de mort, je suis flexi-abolitionniste.

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(Ami.e lecteurice, du sarcasme se cache quelque part dans ce texte. Sauras-tu le retrouver ?)

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Je suis usé.   

J’ai mangé des animaux jusqu’en 1996, jusqu’à mes 18 ans. Et j’ai arrêté complètement quand j’ai trouvé la force de m’opposer à la pression sociale, à ma famille, à la peur du rejet, de l’exclusion. Ca m’a permis progressivement d’aborder … Continuer la lecture

J’ai mangé des animaux jusqu’en 1996, jusqu’à mes 18 ans. Et j’ai arrêté complètement quand j’ai trouvé la force de m’opposer à la pression sociale, à ma famille, à la peur du rejet, de l’exclusion. Ca m’a permis progressivement d’aborder le monde avec de nouvelles réflexions que je n’arrivais pas à articuler parfaitement avant ça. Mais ça ne change pas grand chose au problème, finalement.

Ces temps-ci, je suis usé, fatigué par une société composée de psychopathes. Je pèse complètement mes mots. Il n’y a aucune hyperbole dans le fait de dire que je vis dans une société composée de psychopathes. Ca n’est pas de l’extrémisme (qui est un mot fourre-tout qui ne veut plus rien dire), ça n’est pas de l’intégrisme (qui est un mot qui veut dire exactement le contraire de ce pour quoi on l’emploie généralement : intégriste = réactionnaire), ça n’est pas de la violence, je n’ai pas de colère à l’esprit quand je dis que c’est une société de psychopathes, c’est juste un constat. Un psychopathe, c’est quelqu’un qui a un trouble de l’empathie, l’incapacité d’utiliser ses neurones miroir pour ressentir de la compassion envers autrui et d’agir en conséquence.

Alors soyons bien clairs, tout le monde, absolument tout le monde sait qu’un animal doté d’un cerveau a des sensations, des sentiments, une perception individuelle du monde, des facultés intellectuelles, qu’il n’aime pas souffrir, qu’il aime vivre, qu’il a des interactions avec les autres individus, voire des relations sociales riches, et même une culture (il est capable d’apprendre, et il échange des connaissances avec les autres individus de son entourage). Tout le monde sait que les animaux dotés d’un cerveau veulent vivre, aiment être libres, n’aiment pas être mutilés, aiment découvrir, jouer, évoluer au sein du monde. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle ça fonctionne aussi quand on parle des humains : Ce sont également des animaux dotés d’un cerveau. (Du moins, c’est ce qu’ils affirment, pour le cerveau.)

Foutredieu, tout le monde le sait.

A peu près tout le monde est également capable de chercher un tout petit peu à s’informer pour se rendre compte qu’on est parfaitement capables de vivre heureux et parfaitement bien sans manger, enfermer et tuer d’autres animaux.
(Et quand je dis « un tout petit peu s’informer », je ne suis pas en train de parler de chercher des sources douteuses, improbables, inquiétantes ou je ne sais quoi… Je parle d’ouvrir un bouquin d’Histoire pour se rendre compte qu’il y a 150 ans, dans son propre pays, la viande était un produit rare, luxueux et exceptionnel, de comparer sa propre consommation de viande avec celle des humains du reste du monde, d’avoir deux ou trois notions de géographie pour savoir que la moitié des habitants d’Inde sont végétariens, et qu’on totalise un milliard de végétariens dans le monde, de consulter les sites de recommandations santé officielles, nationales des USA, du Canada, du Royaume Uni, les plus grandes associations de diététiciens du monde, même les associations de pédiatres, qui expliquent comment suivre un régime végétarien ou végane, à n’importe quelle époque de sa vie, sans risque pour la santé et même en en tirant des bénéfices… Un niveau d’information à peu près basique, quoi…)

Si les humains inséminent, mutilent, enferment, tuent, lobotomisent, électrocutent, broient, égorgent, étouffent, dépècent les autres animaux, ça n’est pas parce qu’ils ont longuement réfléchi au meilleur choix possible, ça n’est pas parce qu’ils ne savent pas tout ça, c’est juste qu’ils préfèrent se convaincre qu’ils n’en savent rien. Parce que ça ne leur retombe pas sur leur petite gueule à eux. Parce qu’ils n’en ont rien à foutre. Parce que ce sont des crevards.
(Oui, alors je le concède, « crevard » n’est pas un mot tout à fait aussi neutre que « psychopathe ». Au temps pour moi.)

Alors sachant tout ça, ça me fatigue de devoir faire -et entendre- du militantisme pour le végétarisme, pour le véganisme, pour l’antispécisme, de devoir user de psychologie, de diplomatie, de patience… de devoir endurer les discours welfaristes et même abolitionnistes, les guéguerres internes entre militants humains… alors que tout ça se place à un niveau d’absurdité tellement dingue…

Si j’assiste un jour à une agression d’un tueur en série cannibale sur une personne plus faible, voilà exactement comment je ne vais pas réagir :
« Monsieur, dites, s’il-vous-plaît, arrêtez de frapper cette personne… S’il-vous-plaît, ne la découpez pas… S’il-vous-plaît, allez… Bon… Ok… Là, c’est trop tard. Je suis obligé de respecter votre choix, je n’y peux rien… Ok, elle est morte, vous pouvez la manger maintenant, ça ne change plus rien… Mais… NON ! Mais n’attaquez pas cette autre personne, ça suffit maintenant ! MAIS ! Vous pouvez manger autre chose, c’est tout aussi bon, et tout aussi sain, regardez ! Regardez ces bons petits plats sans matières humaines… Et c’est écologique ! [NDLR : Je ne sais pas si c'est écologique d'épargner les humains, puisqu'on n'en pratique pas l'élevage. Mais admettons que je puisse utiliser l'argument de l'écologie pour le convaincre d'arrêter.]… Allez, s’il-vous-plait… Mais non enfin, je ne suis pas trop sensible. Je crois simplement que vous ne faites pas la connexion, vous ne vous rendez pas compte que vos victimes souffrent et qu’elles veulent vivre… Je ne vous juge pas, mais… Discutons pendant que vous tuez votre prochaine victime… »

Et d’ailleurs voici aussi exactement comment je ne réagirais pas :
« CONNARD ! CONNARD ! T’ES QU’UN CONNARD ! Si tu tues cette personne, t’es qu’un CONNARD ! T’ES UN TUEUR ! LE FAIS PAS, SALAUD !… Ah, zut, tu l’as tuée quand même… BEN T’ES UN SALAUD !… Quoi, tu vas tuer l’autre aussi ?! DOUBLE SALAUD ! Si tu la tues aussi, t’es UN VRAI GROS SALAUD !… Ah, tu l’as tuée aussi, et tu la manges… ORDURE ! NON MAIS CA SUFFIT ORDURE, ARRETE ! JE CONTINUERAI A T’INSULTER A CHAQUE VICTIME ! »

Voilà plutôt comment je réagirais : J’attraperais un truc lourd et solide et je frapperais, je frapperais, je frapperais jusqu’à ce que le cannibale lâche son arme, que ça lui casse la main ou le bras, ou les jambes, qu’il tombe, qu’il perde connaissance. Et peut-être même que, par prudence (parce que j’ai vu suffisamment de films d’horreur) je continuerais à frapper et je le tuerais pour m’assurer qu’il est vraiment hors d’état de nuire. Et les victimes potentielles pourraient alors s’enfuir.

Non seulement c’est de cette manière que je réagirais, mais c’est également de cette manière que les victimes réagiraient elles-mêmes si elles en avaient la possibilité. C’est de cette manière que n’importe qui réagirait pour sauver sa peau, ou pour sauver la peau d’un innocent.
Ce serait la réaction saine, sensée, juste, parfaitement rationnelle de n’importe qui. Je serais non seulement innocenté, mais même acclamé par tout le monde, si je sauvais les victimes. Et même les victimes seraient considérées comme héroïques si elles réussissaient à s’en sortir d’elles-mêmes de cette manière. Tout le monde serait admiratif qu’on ait pu arrêter ce fou dangereux.
(Et pourtant, un psychopathe, ça se soigne et ça peut guérir, aussi, ça n’est pas complètement de sa faute si c’est un psychopathe.)

Mais voilà, je n’agis pas de cette manière pour les mille milliards de victimes annuelles d’une société composée majoritairement de psychopathes. Parce que ça n’est pas un fou dangereux qu’il faudrait affronter, mais plusieurs milliards de fous dangereux. Parce que je suis lâche, je n’ai pas envie de risquer ma liberté ou ma vie.
Parce que j’ai le sentiment que ça ne suffirait pas, que ça serait contre-productif. Alors que partout dans le monde des opprimés menacés de mort n’hésitent pas à prendre les armes pour se défendre ou vendre chèrement leur peau.
Parce que je fais partie du groupe des oppresseurs, donc je peux me permettre d’être passif puisque je ne suis pas celui qui se fait enfermer/mutiler/tuer, je ne suis pas celui qui est hyper motivé par l’idée d’éviter la torture qu’on m’inflige au quotidien, la mort dont on me menace à brève échéance, motivé par la peur, par la colère pour mettre fin à une frellnick poukram d’injustice de la taille de l’Etoile Noire.

Alors tout ce que je fais, c’est que je débats gentiment avec des milliards de psychopathes, en me tenant la tête à deux mains.

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Les débats dans la vie de tous les jours.   

Soient deux personnes endossant les rôles A et B. Soient deux énoncés, deux propositions, deux croyances qui semblent distinctes et incompatibles, voire opposées que nous appelleront rond et carré. – A : « Je te dis que c’est carré qui est … Continuer la lecture

Soient deux personnes endossant les rôles A et B.
Soient deux énoncés, deux propositions, deux croyances qui semblent distinctes et incompatibles, voire opposées que nous appelleront rond et carré.

- A : « Je te dis que c’est carré qui est vrai ! »
- B : « Non ! C’est rond qui est vrai ! »

Parfois survient une troisième personne, qui par une inspiration subite, prend le rôle C.
- C : « Je crois comprendre les arguments qui permettent de penser que c’est carré qui est vrai. J’y vois beaucoup de choses convaincantes. Je crois également comprendre les arguments qui permettent de penser que c’est rond qui est vrai. J’y vois beaucoup de choses convaincantes aussi. Et je pense voir des failles dans chacun des deux raisonnements. Je ne suis pas en état de décider si carré est vrai, si rond est vrai, ou si c’est quelque chose d’autre qui n’a pas été envisagé. Ca me semble une question très compliquée, je pense que ça peut être intéressant d’y réfléchir plus longuement. En l’état actuel des choses, j’affirme que je ne sais pas. »

- A et B, s’adressant simultanément à C : « TRAITRE, ORDURE, VILEBREQUIN ! TU CROIS QUE C’EST », A : « ROND ! » et B : « CARRE ! »

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Epilogue :
- C, in petto : « Donc c’est bien ça. Ce sont vraiment tou.te.s des abruti.e.s. »

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Post-épilogue en commentaire.

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Pourquoi le spécisme   

Si une seule espèce d’animaux non-humains acquiérait la capacité de se fédérer, d’établir des stratégies complexes ou d’utiliser la force physique pour menacer les intérêts des humains, alors les humain.e.s les écouteraient. Les humain.e.s cèderaient, iels déclareraient que les individus … Continuer la lecture

Si une seule espèce d’animaux non-humains acquiérait la capacité de se fédérer, d’établir des stratégies complexes ou d’utiliser la force physique pour menacer les intérêts des humains, alors les humain.e.s les écouteraient. Les humain.e.s cèderaient, iels déclareraient que les individus de cette espèce ont une individualité, une subjectivicité, le droit de vivre libres.
Iels le feraient parce que c’est de cette manière que tous les combats pour la libération des opprimé.e.s, humain.e.s parmi les humain.e.s, ont toujours été menés pour atteindre leur objectif. Lorsque les esclaves noir.e.s ont pris les armes. Lorsque les femmes sont descendues dans la rue pour réclamer leurs droits. Etc.
Et parce que c’est toujours lorsque le rapport de forces n’était pas suffisant pour menacer les oppresseurs, pas suffisant pour que les oppresseurs reconnaissent l’individualité, la subjectivité et le droit de vivre de leurs victimes, que les opprimé.e.s ont subi leur oppression durablement, et souvent même jusqu’à l’oppression totale, jusqu’à leur invisibilisation absolue : l’extermination physique.

Si une seule espèce d’animaux non-humains acquiérait cette force suffisante pour nous faire reculer de peur, pour se libérer de notre joug, tous les sophismes de défense du spécisme et du carnisme s’annuleraient d’eux-mêmes. « La nature », « La chaîne alimentaire », « Ils se tuent entre eux », « On l’a toujours fait », « Ils sont stupides », « Ils ne sentent rien », « Y a plus grave », etc. Tout se révèlerait immédiatement absurde, faux, honteux. Tout s’évaporerait. Toute l’hypocrisie, tout le déni, toute la mauvaise foi, tout le cynisme, toute la passivité, tout l’égocentrisme.

Et on se sentirait alors tellement vertueux de leur laisser la paix, de leur céder la liberté par pur altruisme, par éthique, grâce à notre Force Morale et notre Puissance Intellectuelle tellement uniques, qui nous auraient permis de leur reconnaître le droit de vivre libres. Enfin.

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Edit du 19/03/2015

Au passage, si ça n’apparait pas assez dans ce qui précède : Les animaux (autres qu’humains) luttent aussi pour se libérer de la domination humaine, tout autant que les groupes humains opprimés luttent contre leurs oppressions respectives.
Ils luttent en essayant de fuir quand on les enferme, quand on limite leur liberté, au point qu’on doive inventer des technologies qui les retiennent dans leurs enclos électrifiés, dans leurs cages en métal verrouillées, dans leurs entrepôts. Les mères luttent quand on les sépare de leurs petits, elles hurlent, elles tentent de les suivre. Elles les cachent des humains, parfois, si elles en ont l’occasion. Les animaux chassés fuient, se cachent. Les jeunes en élevage castrés, écornés, ébecqués luttent, tentent d’échapper à la poigne des humains, crient. Les animaux pêchés tentent de se dégager des mailles, se débattent à l’air libre. Les animaux poussés dans des bétaillères freinent des quatre pattes, gémissent, se laissent tomber. Les animaux conduits jusqu’aux chaînes d’abattage en font autant, cherchent avec les moyens dont ils disposent à échapper aux humains, jusqu’à la dernière seconde de leur vie.
Ils luttent parce que c’est évidemment ce que fait n’importe quel individu sensible, conscient face à la souffrance ou la mort qu’on lui impose.

La seule différence entre les luttes humaines qui parviennent à des résultats et les luttes des autres animaux pour leur vie et leur liberté, c’est la quantité de pouvoir dont chacun dispose, les outils physiques, intellectuels, stratégiques qu’ils ont pour s’opposer au pouvoir des dominants. Suffisants ou pas.
Et les groupes humains opprimés ne disposent pas systématiquement non plus d’une quantité de pouvoir suffisante pour faire reculer leur oppression (Même si l’intérêt des dominants est toujours de croire et de faire croire que ce rapport de forces n’est pas suffisant, ce qui a pour effet à la fois de démotiver les opprimés de mener eux-mêmes leur lutte et de pouvoir détourner leur lutte en faveur des dominants, il se trouve que dans certaines situations et circonstances précises, c’est factuellement et manifestement vrai.).
Avoir accès à plus ou mois de pouvoir pour lutter contre sa propre oppression ne rend pas la lutte plus ou moins légitime, ni l’oppression plus ou moins grave.

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Madame Vastra   

Doctor Who (2005) – Saison 8 Episode 1 – Deep Breath


Doctor Who (2005) – Saison 8 Episode 1 – Deep Breath

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L’humaine humilité   

Manifestement, la pensée la plus complexe, la plus épuisante, la plus terrifiante, la plus impensable, la plus ignoble, la plus douloureuse, la plus destructrice, la plus inacceptable d’entres toutes pour un cerveau humain, quel qu’il soit, a toujours été et … Continuer la lecture

Manifestement, la pensée la plus complexe, la plus épuisante, la plus terrifiante, la plus impensable, la plus ignoble, la plus douloureuse, la plus destructrice, la plus inacceptable d’entres toutes pour un cerveau humain, quel qu’il soit, a toujours été et restera pour toujours : « Je ne sais pas. »
Tout, n’importe quoi plutôt que ça. Jamais.

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Les valeurs   

Je n’ai aucune valeur, je refuse d’en avoir et je ne defendrai jamais aucune valeur. Une valeur, c’est une idée figée, c’est quelque chose censée être Bien de manière absolue et immuable parce que c’est comme ça et voilà. C’est … Continuer la lecture

Je n’ai aucune valeur, je refuse d’en avoir et je ne defendrai jamais aucune valeur.
Une valeur, c’est une idée figée, c’est quelque chose censée être Bien de manière absolue et immuable parce que c’est comme ça et voilà. C’est un croyance avec un tabou sur la remise en question. C’est un truc qui s’applique en toutes circonstances, de la même manière, sans tenir compte du contexte et des spécificités qui entraîneront des conséquences variables justement selon le contexte.
Une valeur, c’est exactement la même chose qu’une religion.

Je n’ai pas de valeurs, j’ai un cerveau. Je réfléchis à ce qui inflige des maux à autrui, c’est-à-dire mort et souffrances, et quels sont les moyens d’épargner un maximum de mort et de souffrance à un maximum d’individus, et d’optimiser au contraire la jouïssance de la vie de tous ces individus.
Bien souvent, ça implique de garantir la liberté de ces individus de faire un certain nombre de choses. Mais ça implique aussi de limiter la liberté de ces individus de faire un certain nombre d’autres choses qui nuiraient aux autres individus (en leur infligeant souffrance ou mort). La liberté, c’est une valeur. Mais si l’on veut chercher à faire le moindre mal à l’ensemble des individus qui composent le monde, la liberté ne peut pas s’appliquer ni se définir comme un absolu immuable quelque que soit le contexte. La liberté de violer n’existe pas. La liberté de tuer qui l’on veut pour le plaisir n’existe pas. Ou du moins, ces libertés ne devraient pas exister.

Raisonner avec des valeurs, c’est arrêter de réfléchir.
L’univers est trop complexe pour se permettre un tel raccourci intellectuel, une telle fainéaitise, au détriment de celleux qui en feront les frais parce qu’on les aura oublié.e.s.

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Fabrique-toi.   

Lecteurice, Choisis dans la liste ci-dessous les éléments qui te correspondent pour te fabriquer toi-même : – Avoir des seins ? Oui, petits | Oui, gros | Non – Avoir un pénis ? Oui, petit | Oui, gros | Non … Continuer la lecture

Lecteurice,

Choisis dans la liste ci-dessous les éléments qui te correspondent pour te fabriquer toi-même :
- Avoir des seins ? Oui, petits | Oui, gros | Non
- Avoir un pénis ? Oui, petit | Oui, gros | Non
- Avoir un clitoris ? Oui, petit | Oui, gros | Non
- Avoir un vagin ? Oui | Non
- Avoir un utérus ? Oui | Non
- Avoir des cheveux ? Oui, courts | Oui, longs | Oui, autres | Non
- Avoir des cheveux ? Blonds | Bruns | Châtains | Roux | Blancs | Autres | Non
- Avoir des poils sous les aisselles ? Oui | Non, rasés | Non, épilés
- Avoir des poils au menton ? Oui, courts | Oui, touffus | Non, rasés | Non, épilés | Non, poussent pas
- Avoir de la moustache ? Oui, courte | Oui, longue| Non, rasée | Non, épilée | Non, pousse pas
- Avoir des poils aux jambes ? Oui | Non, rasés | Non, épilés
- Avoir des poils sur le pubis ? Oui | Non, rasés | Oui, à définir
- Avoir des hanches ? Oui | Non
- Avoir des fesses ? Oui | Non
- Avoir de la bedaine ? Oui | Non
- Avoir des poignées d’amour ? Oui | Non
- Avoir des jambes musclées ? Oui | Non
- Avoir des pectoraux ? Oui | Non
- Avoir des abdos ? Oui | Non
- Avoir des bras musclés ? Oui | Non
- Avoir une voix ? Aigüe | Grave | Non
- Avoir des pommettes ? Oui | Non
- Avoir un menton ? Carré | Pointu | Rond | Fuyant
- Avoir des sourcils ? Oui, pas épilés | Oui, épilés | Non
- Avoir un nez ? Droit | Retroussé | Bombé / large | fin
- Porter du rouge à lèvres ? Oui | Non
- Porter du fard à paupières ? Oui | Non
- Porter du mascara ? Oui | Non
- Porter des boucles d’oreilles ? Oui, à gauche | Oui, à droite | Oui, aux deux oreilles | Non
- Porter des piercings ? Emplacement(s) au choix
- Porter des tatouages ? Emplacement(s) au choix
- Mettre du vernis à ongles sur les mains ? Non | Oui, couleurs à définir
- Mettre du vernis à ongles aux orteils ? Non | Oui, couleurs à définir
- Autres particularités physiques à compléter…
- Porter des robes ? Oui | Non
- Porter des jupes ? Oui | Non
- Porter des pantalons ? Oui | Non
- Porter des bas ? Oui | Non
- Porter des collants ? Oui | Non
- Se couvrir les cheveux ? Non | Oui, à définir (chapeau, cravatte, casquette, toque, voile, foulard…)
- Porter des manches courtes ? Oui | Non
- Porter des manches longues ? Oui | Non
- Porter des caleçons ? Oui | Non
- Porter des slips ? Oui | Non
- Porter des soutiens-gorges ? Oui | Non
- Porter des cravates ? Oui | Non
- Porter des noeuds papillons ? Oui | Non
- Porter des bracelets ? Oui | Non
- Porter des montres ? Oui | Non
- Porter des colliers ? Oui | Non
- Porter des bagues ? Oui | Non
- Porter des chaussures à talons hauts ? Oui | Non
- Porter des chaussures à talons plats ? Oui | Non
- Porter des bretelles ? Oui | Non
- Porter une ceinture ? Oui | Non
- Autres habillements possibles à compléter…
- Etre timide | Extraverti.e | modérément réservé.e ?
- Etre courageux.se | trouillard.e | modérément brave ?
- Etre plutôt altruiste | plutôt égoïste | l’un et l’autre ?
- Etre plutôt empathique | plutôt insensible ?
- Etre imaginatif.ve ? Oui | Non
- Etre drôle ? Oui | Non
- Etre impulsif.ve ? Oui | Non
- Etre doux.ce ? Oui | Non
- Etre colérique ? Oui | Non
- Etre dépressif.ve ? Oui | Non
- Etre angoissé.e ? Oui | Non
- Etre jaloux.se ? Oui | Non
- Etre autoritaire ? Oui | Non
- Etre obsessionnel.le de la propreté ? Un peu | Beaucoup | Pas du tout
- Péter ? Souvent | Parfois | Jamais/En cachette
- Roter ? Souvent | Parfois | Jamais/En cachette
- Jurer ? Souvent | Parfois | Jamais/En cachette
- Etre poli.e ? Souvent | Parfois | Jamais
- Avoir des tics faciaux ? A définir
- Avoir des tics de langage ? A définir
- Avoir des tics gestuels ? A définir
- Autres caractérisiques de tempérament/comportement à compléter…
- Faire du sport ? Souvent | Parfois | Jamais
- Aimer le foot ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer le basket ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer la formule 1 ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer la danse ? Beaucoup | Un peu | Pas du toutt
- Aimer la natation ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer la compétition ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer les grandes villes ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer la forêt ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer la plage ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer la montagne ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer la nature ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer les mathématiques ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer les sciences ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer la science fiction ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer les nouvelles technologies ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer les jeux vidéos ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer la politique ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer la psychologie ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer la sociologie ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer les histoires d’amour ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer les histoires d’action ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer les polars ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer les westerns ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer la littérature ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer le cinéma ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer la musique ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer la cuisine ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer chanter ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer danser ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer le jardinage ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer le bricolage ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Aimer les enfants ? Beaucoup | Un peu | Pas du tout
- Autres goûts/passions/aspirations à compléter…

Mais s’il-te plaît, ne viens pas me dire si tu es une femme ou un homme¹, parce que ça, je t’avoue que je n’en ai vraiment, vraiment, vraiment rien à carrer.

———————

(¹ Je sais bien que la société humaine nous force perpétuellement à entrer dans une case pour nous contrôler, que c’est presque impossible à dépasser tellement c’est omniprésent, et que les discriminé.e.s doivent se fédérer autour d’une même étiquette discriminante qui leur est imposée, pour pouvoir lutter ensemble.
Ca ne veut pas dire pour autant que le concept d’identité en lui-même (imposé par la société dans le but de pouvoir nous hiérarchiser et nous contrôler, rappelons-le) ait rationnellement le moindre sens.
Les acheteur.se.s du mixeur Seb défaillant vendu trop cher par Maxiprix, pour pouvoir revendiquer leurs droits de consommateurices, doivent également se fédérer selon le critère « acheteur.se.s du mixeur Seb défaillant vendu trop cher par Maxiprix ». Ca n’en fait pas pour autant une identité à intégrer.
Un statut social manifestement imposé, un critère commun de lutte à garder en tête, mais pas une identité.
Si on veut à tout prix le maintenir comme une identité forte, ontologique, dépourvue de définition, alors on ne veut pas faire disparaître à terme le critère hiérarchisant imposé par la société, et donc on ne souhaite pas atteindre un jour l’issue de la lutte.)

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Strax   

Doctor Who (2005) – Saison 8 Episode 1 – Deep Breath


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Soleil Vert & Dignitas   

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Dans un abattoir, ça ne se passe PAS DU TOUT comme ça : La mort de Sol dans Soleil Vert

Ca ne se passe ABSOLUMENT PAS comme ça non plus :
Comment le suicide accompagné est-il préparé au sein de DIGNITAS ?

Vraiment, les animaux tués pour le plaisir des humains ne sont jamais tués avec des câlins. Et ils n’y vont pas de leur plein gré, je vous assure.
La « viande heureuse », la « mise à mort respectueuse », ça n’existe pas. Vous pouvez arrêter la drogue, mesdames et messieurs, c’est mauvais pour la santé mentale.

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Apprenons tous ensemble à penser à l’envers.   

Expérience de Asch et en images La psychologie du mal, par Philipp Zimbardo Psychologie du crime, par Philippe Laporte

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