Archives mensuelles : octobre 2010

Episode 9   

Temps de réalisation : 2H. Retouches à l’ordinateur : Aucune Bon. Je pense à manger ma tablette graphique.

Temps de réalisation : 2H.
Retouches à l’ordinateur : Aucune
Bon. Je pense à manger ma tablette graphique.

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Episode 8   

Parce que ça fait déjà trois semaines et qu’il faut bien se décider à finir même si l’on n’est pas entièrement satisfait du résultat, le voici enfin, l’épisode 8 et sa fameuse n-chaise. Matez-moi ça. Et pis cliquez dessus pour … Continuer la lecture

Parce que ça fait déjà trois semaines et qu’il faut bien se décider à finir même si l’on n’est pas entièrement satisfait du résultat, le voici enfin, l’épisode 8 et sa fameuse n-chaise.

Matez-moi ça. Et pis cliquez dessus pour le gros plan, c’est mieux.

Allez, je dresse quand même mon bilan, parce que tout le monde s’en fout :
- Méthode de travail à rerevoir, alors que c’était pourtant bien parti.
- La perspective, c’est pas facile facile, quand les points de fuite sortent de l’écran.
- Une perspective à deux points de fuite, lorsqu’ils sont trop proches de la case, ça vous oblige à rester en gros plan pour que la distance oeil-plan soit à peu près correcte et ne pas choquer le spectateur. Solution : Plus éloigner les points de fuite, ou faire de la perspective à trois points de fuite.
- Pour garder des proportions correctes sur un cadrillage en perspective, la solution est de prendre en considération les points de fuites des diagonales du cadrillage.
- La projection des ombres, c’est pas évident.
- Les ombrages au stylet de palette graphique, c’est tout pourri et lourdingue.
- Un plan fixe, ça me force à faire du copier-coller, par angoisse de trop déformer mes objets. Vivement les cadrages variés.
- Les drapés et plis de vêtements, c’est pas encore ça.
- Un personnage sans mains ni pieds, ça vous simplifie la vie. Surtout s’il n’a pas de tête.
- Les croquis au crayon gris, c’est vachement plus cool.
- La n-chaise a trop la classe.

Edit du 29/10/2010 : J’aime pas la bulle de la case 5. Mais je n’ai pas réussi à trouver l’onomatopée adéquate. Ne pas en mettre ? Qu’en-penses-tu, lecteur ?

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Mais où est le poisson ?   

Allez, je vous gribouille un truc en vitesse pour vous faire patienter jusqu’à l’Episode 8. D’après photo.

Allez, je vous gribouille un truc en vitesse pour vous faire patienter jusqu’à l’Episode 8.
D’après photo.

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XX ans plus tard, deuxième   

Souvenez-vous. Sachant qu’un point de fuite est défini par un ensemble de droites parallèles dans l’espace, et que ces droites sont définies par une direction qui se décompose en un vecteur u horizontal et un vecteur v vertical. Si on … Continuer la lecture

Souvenez-vous.
Sachant qu’un point de fuite est défini par un ensemble de droites parallèles dans l’espace, et que ces droites sont définies par une direction qui se décompose en un vecteur u horizontal et un vecteur v vertical.
Si on pose que :
- ces deux vecteurs forment avec le vecteur w perpendiculaire à la feuille respectivement un angle alpha et un angle bêta
- que l est la distance (idéale) de l’oeil par rapport à la feuille
- et que x et y sont les coordonnées du point de fuite dans le repère orthonormé dont le point (0,0) est la position de l’oeil sur la feuille (projection par le vecteur w)

On a :

x = l tan(alpha)
y = l tan(bêta)

Je sais, personne ne suit… M’en fous, je me sers de ce blog comme pense-bête.

De cela, il découle que tous mes objets horizontaux auront un angle bêta nul, donc une coordonnée y nulle. D’où l’existence de la ligne d’horizon (y=0), tout simplement.
Donc, si ma ligne d’horizon n’est pas au milieu de ma feuille, ça signifie simplement que :
- Soit mon oeil (idéal) est (censé être )plus haut ou plus bas que le centre de la feuille.
- Soit l’ensemble des mes objets définissant des surfaces apparemment horizontales et une ligne d’horizon qui leur correspond ne sont pas horizontaux par rapport à mon oeil (pas parallèles au vecteur w dans l’espace, autrement dit que je regarde vers le haut ou vers le bas, que je suis en plongée ou contre plongée. Si c’est le cas, mes droites verticales ne seront pas elles-non plus perpendiculaires au vecteurs w, pas parallèles à la feuille. Ces droites verticales devront donc créer un nouveau point de fuite. Dans ce contexte de plongée ou contre-plongée, tout objet parallélépipédique rectangle doté d’une surface horizontale (par rapport au paysage) sera donc doté de trois points de fuites.

Et vlan. Première conséquence.

Deuxième conséquence :
Si je reste dans un plan qui n’est ni en plongée ni en contre plongée, si je dessine un objet parallélépipédique rectangle doté d’une surface horizontale, ses angle bêtas (pour chaque surface), à lui, sont nuls. Il n’a que des angles alpha. Il n’aura que deux points de fuite, sur la ligne d’horizon.
Si sa surface qui part sur la gauche fait un angle alpha1 avec le vecteur w, et si sa surface qui part sur la droite fait un angle alpha 2 avec la vecteur w, puisqu’on parle d’un parallélépipède rectangle, ces deux surfaces sont perpendiculaires donc :
alpha2=90°+alpha1
or tan(90°+alpha) = -1/tan(alpha)
donc :
x1=l tan(alpha1)
et x2 =l tan(alpha2) =l tan (90°+ alpha1) = – l /tan(alpha1)

Autrement dit x1*x2= -l² et x1/x2=-tan²(alpha1)

C’est-à-dire qu’une fois posés nos deux points de fuite, la distance de l’oeil par rapport au papier est figée. De même pour l’angle (réel) de l’objet par rapport à w. Si je dessine un nouvel objet, l étant déjà connu, il faut donc savoir que le premier point de fuite posé pour ce nouvel objet figera son angle (réel) et que le deuxième point de fuite ne pourra donc être posé qu’en fonction du premier, sous peine de distordre le nouvel objet. Mon premier objet dessiné a posé des lois à respecter sur le deuxième.

Voilà.
Fidèle ami lecteur, si tu veux des schémas pour compléter ce bourdel, et y comprendre quelque chose à mes explications toutes pourrites, t’as qu’à demander. Sinon, tant pis pour ta gueule. Je suis pas prof.

Bon. Il me reste encore à réfléchir un peu mieux aux trois points de fuite d’un objet parallélépipédique rectangle dont l’orientation est totalement quelconque, et surtout au problème de la diminution de taille selon la distance.

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Episode 7 bis   

Bon. Et jour aussi. Ou soir comme vous préférez. Bref. Ma méthode de travail hybride a du bon, je confirme. Mais elle n’est pas encore parfaite, et ça, c’était un peu prévisible. Conséquemment, ça fait presque une semaine que je … Continuer la lecture

Bon.
Et jour aussi.
Ou soir comme vous préférez.

Bref.

Ma méthode de travail hybride a du bon, je confirme. Mais elle n’est pas encore parfaite, et ça, c’était un peu prévisible. Conséquemment, ça fait presque une semaine que je suis sur l’épisode 8 et il n’est pas du tout fini.
Entre autre parce que redessiner toute la perspective d’une chaise (Non, pas la même que celle de l’épisode 6 , mais mille fois plus compliquée. Mille fois. Sans déc’. C’est une chaise de Moebius, voire de Klein. Juré. Ouais. Une hyper chaise, quoi. Si, si.), d’une chaise, disais-je, par ordinateur en posant les points de fuite et en traçant toutes les droites, et en s’emmêlant les pinceaux (Ah ah, lol, un blog BD qui s’emmêle les pinceaux, très drôle, hilarant, ah ah, je vais mourir, je vous en prie, arrêtez, c’est trop drôle. Ah ah.), les pinceaux, disais-je, à force de tracer des droites dans tous les sens et ne plus savoir laquelle correspond à quoi, et finalement perdre entre une ou deux heures à redessiner sa chaise initiale qui à la réflexion n’était pas si mal que ça (à part juste un trait, non, il était nul, ce trait-là), hé ben, c’est un mauvais choix.
Et puis avoir la flemme aussi, c’est un mauvais choix.

Et donc j’ai dans l’idée que ma planche de l’épisode 8, finie dans son esquisse papier, n’atteindra pas son état définitif parfaitement joli avant le week end prochain. Si j’y arrive, ça signifie tout de même un rendement doublé par rapport à la planche précédente, et c’est pas rien.

Tout ça pour dire que pour vous faire patienter, chers lecteurs (Osons le pluriel, soyons fou.), j’ai honteusement pondu cette demie chose, qui va suivre, que j’appelle « épisode 7 bis », dont le travail de recyclage m’a quand même pris une heure et demie. Ca craint.
Je dirais même plus : Ca craint du boudin.

J’ajoute un script de spoiler pour ceux qui se sentent capables de patienter jusqu’à la planche 8, laquelle vaudra mille fois cette planche 7 bis (grâce à la n-chaise). Vous verrez, c’est totalement incroyable.

Episode 7 bis

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Riguode et métheur   

Spoilers bis J’ai essayé d’appuyer sur ctrl + z sur ma gomme.

Spoilers bis

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Rigueur et méthode   

Spoilers Aujourd’hui, j’ai acheté une gomme.

Spoilers

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Méthode et rigueur   

Bon… Fort de mon expérience précédente (enfin non, pas la précédente, mais plutôt l’ante-précédente), j’en suis arrivé à la conclusion (plusieurs fois de suite, et de plus en plus fort) qu’il fallait que je change de méthode. Parce que non, … Continuer la lecture

Bon…

Fort de mon expérience précédente (enfin non, pas la précédente, mais plutôt l’ante-précédente), j’en suis arrivé à la conclusion (plusieurs fois de suite, et de plus en plus fort) qu’il fallait que je change de méthode. Parce que non, faire une planche de six cases en 4 semaines, ça n’est pas normal, ou en tout cas, ça n’est ni très productif ni très motivant (même si plaisant parfois). Je me suis surtout dit qu’il était sûrement possible d’améliorer ça.
Par exemple, en reprenant les bases : Pour dessiner, on utiliser une feuille et un crayon.
Alors bien sûr, l’avantage de la tablette graphique, c’est qu’on efface à volonté, on fait des calques, des copier coller, des zooms, et on n’a pas ces problèmes de légères nuances ombragées du scan. Bref, ça semble plus simple. Mais ça peut aussi être super frustrant : Le crayon ne pardonne pas, il ne dessine pas juste dessous ma main, là, non, il dessine au loin sur l’écran, pas aux mêmes proportions, et si tu veux pencher ton plan de travail parce que ta main a un angle préféré pour tracer des traits, ben je te souhaite bon courage, parce que l’écran, lui, tu ne le pencheras pas… Ah oui, et dessiner avec plus de quatre applications lancées en même temps, c’est très rigolo si tu veux voir ton crayon dessiner avec une seconde de décalage sur le pointeur… Quant à tracer des rectangles tout simples, avec Gimp, ben c’est encore plus galère… noter les coordonnées (calculées pour bien diviser la planche comme convenu) du premier point de la droite, déplacer la souris à l’autre bout de l’image avec le même x ou le même y, et au pixel près, s’il vous plait… Tu veux faire six cases… Bah, ça prend qu’une demie heure… Bon, bien sûr, tu reprends ton modèle de la fois précédente, mais si tu veux changer le modèle…

Bref.

Je me suis dit. On va tenter de l’hybride. Papier-crayon d’abord. Puis scan. Puis travail sur tablette. Le but étant d’éviter au maximum les phases frustrantes et démotivantes (i.e la phase 1 du dessin purement ordinateur, dite aussi « Putain de tablette de merde ! Con de stylet ! Qu’est-ce que c’est que cette chiotte ! », et la phase 2 du dessin purement papier, dite aussi « C’est vraiment caca comment je dessine… »), pour les remplacer par les phases épanouissantes (i.e la phase 1 du dessin purement papier, dite aussi « Oh, mon crayon réagit parfaitement à la grâce des coups d’esquisse de mon poignet. », et la phase 2 du dessin purement ordinateur dite aussi « Oh, je peux rendre une parfaite clarté à cette oeuvre, la transformant en tracés nets, et travailler avec plaisir sur ces calques ou ces effets d’ombrages. »).
Du moins, c’était l’idée.
L’idée aussi, c’est que je ne suis pas dessinateur ni peintre ni artiste, je ne prends pas de cours, je n’ai pas 20 ans de travail intensif en arts plastiques derrière moi, je pars de rien, et je me démotive facilement quand je me compare aux autres, donc autant commencer à la base plutôt que de se prendre trop au sérieux et plonger dans le ridicule. Ne pas se lancer dans des techniques de peinture, d’encre de chine, ou de je ne sais quoi. Crayon, papier. Point.

Plein de bonnes résolutions, je décide, hier dimanche, que dès qu’un magasin sera ouvert et à ma portée, j’irai me procurer du matériel convenable. Papier, j’en ai. Mais un crayon, quand même. Un crayon gris, crayon bois, quoi, là. Et puis une règle aussi. Pour les cases. Et un marqueur, pour finaliser en jolis traits. Quand même, le marqueur.
Oui, alors oui, parce que bon, quand même, j’ai de quoi écrire, dans mes affaires, je ne suis pas un pur homme de clavier. Depuis que j’ai quitté l’école, il m’arrive encore d’utiliser des crayons, assez régulièrement. Mais des bics. Ben oui, des bics, là. C’est une habitude que j’ai prise vers 15-16 ans, je n’écrivais plus qu’au bic. De toute façon, au plume, j’effaçais et réécrivais tellement souvent par dessus que ma feuille entière finissait couverte de blanco et de bic. Donc j’ai décidé de court-circuiter l’étape stylo-plume pour passer directement à l’étape bic. Tant qu’à être un gros crado du bic/blanco, autant assumer en bloc. J’ai donc toujours eu des bics et un vieux blanco qui traînait quelque part. Mais de crayon gris, point. A moins qu’il en traîne un vieux++ tout pourri quelque part aussi. Ailleurs. Mais bon. D’où le rachat.

Donc ce soir, quand le temps m’était donné de le faire, je cours me procurer ces objets dans un lieu de commerce adéquat. Des crayons gris (HB, 2B, H, un peu de tout, pour avoir le choix), un joli marqueur fin pour faire de beaux traits (et même deux, parce qu’ils sont vendus par paire), et même un autre joli marqueur pour faire des traits un tout petit peu plus gros (on sait jamais), et un puis une belle grande règle (propre) pour faire les cases. Et puis une équerre, aussi, pour les cases (les mêmes), tiens. Et oh ! Le taille-crayon, je ne sais plus si j’en ai encore un (pour le vieux++ crayon gris tout pourri qui traîne quelque part ailleurs). Voilà, je prends un joli petit taille-crayon mignon.
Fier de mon ensemble, je vais aux caisses, je paie, je retourne chez moi, je déballe, j’installe mon équipement autour de ma tablette graphique, bien proprement. Paré. Oui, ma tablette graphique sera mon plan de travail. Je dessinerai sur des feuilles A4, par dessus, elle est faite pour ça. Il est même possible que je ne passe même pas par l’intermédiaire du scanner, si je me contente de repasser par dessus le dessin avec mon stylet sur la tablette.
Tout est calculé au millimètre. Je suis un cerveau, un tacticien, un pur esprit, un ordinateur de l’an 3000. Je suis Albert Einstein, Ender, Paul Atréïde, Le Patricien. (Allez, vous avez bien deux références sur les 4…) Tout est sous contrôle, je suis LE MAITRE DU MONDE.

Je glande deux heures sur Facebook.
Non, mais ça, ça compte pas. C’est normal. Ca s’impute dans les frais. Hop, hop, on a rien vu.

Bon. Je me mets au boulot. Je m’installe. Je prends mon crayon gris tout beau tout neuf, ma règle et mon équerre toutes belles toutes neuves. Je dessine la séparation de la feuille en six espaces égaux, qui permettront ensuite d’y faire de jolies cases.
Fait.
Je dessine le premier trait de ma première case. Ah effectivement, sans règle, je suis toujours aussi incapable que d’habitude de faire un trait bien droit. Parkinson, me voilà.

Bah, pas de problème, je maîtrise, no souçaï, je vais prendre ma gomme.

Ma gomme.

Gomme.

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Politique   

Voilà, j’ai changé ma méthode de travail. Temps d’exécution : 15 minutes (en comptant le scan) Nombre de sauvegardes : 2 Traitements logiciel : Rotation à 90°, recadrage et redimensionnement. Note : L’oeil attentif aura noté que le soleil présent … Continuer la lecture

Voilà, j’ai changé ma méthode de travail.
Temps d’exécution : 15 minutes (en comptant le scan)
Nombre de sauvegardes : 2
Traitements logiciel : Rotation à 90°, recadrage et redimensionnement.

Note : L’oeil attentif aura noté que le soleil présent dans la première case disparaît dès la deuxième. L’explication somme toute parfaitement logique n’est autre que rien à foutre, tant pis et chiotte.

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Episode 7   

Hé bien, comme suggéré précédemment par une allusion fort subtile, cette planche-ci m’a pris du temps. Commencée le 01/09/2010, basée sur l’étude de 51 photos (prises uniquement dans ce but), objet d’un travail étalé sur 20 jours (parfois par tranches … Continuer la lecture

Hé bien, comme suggéré précédemment par une allusion fort subtile, cette planche-ci m’a pris du temps.
Commencée le 01/09/2010, basée sur l’étude de 51 photos (prises uniquement dans ce but), objet d’un travail étalé sur 20 jours (parfois par tranches d’une heure, parfois beaucoup plus) et sur 139 sauvegardes, et terminée aujourd’hui 02/10/2010.
Je certifie sur l’honneur la véracité de ces nombres.

Le résultat en vaut vachement la chandelle, hein ?
Hein ?
Dites ?
HEIN ?!!!
HE HO ?!

Bon… Penser à revoir ma méthode de travail…

(Et puis ne venez pas chipoter sur les quelques « tricheries » de traitements à l’ordinateur, genre copier-collers des fonds, colorisations et deux trois floutages ou dégradés. Sans ça, c’était deux mois de plus.)

Note : « Le résultat en vaut la chandelle », ça ne veut rien dire.

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