Archives mensuelles : novembre 2010

Quelques passionnants commentaires :
- M’y suis repris à plusieurs fois (deux essais sur deux feuilles différentes, pour la première et la dernière case)
- Ai dessiné chaque case à part, sur du A4 (un ordre de grandeur : deux cases tenaient sur un A4) avant de les rassembler sur ordinateur
- Ai fait quelques retouches à l’ordinateur. Entre autres : Contrastes, nettoyage du fond, relief du casque, textes, lissage des traits du deuxième visage qui, à l’origine, ressemblait encore plus à un femme chimpanzé. Mais 99% du boulot reste du crayon + marqueur.
- Me suis permis de faire un agrandissement de la dernière case par ordinateur, parce que mon cadrage original était complètement raté, mon intention de gros plan donnant juste l’impression qu’elle avait perdu 30 cm entre la 2ème et la 3ème case.
- La main de la deuxième case fait un peu peur, mais celle de la dernière case est presque correcte. Et pour cause, il y a une demie douzaine de croquis de mains entre les deux.
- Le visage de la deuxième me fait un peu penser à du Boiscommun, et celui de la troisième à du Moëbius : C’est une gentille façon de dire que je ne sais pas dessiner des traits constants sur plusieurs cases d’affilée…
- Les bras des deux dernières cases sont beaucoup trop longs. Mais prout.

Bon, sensiblement la même chose que l’épisode 10. Même technique. Plus rapide quand même, forcément. De plus en plus flemmard je suis.
Vous n’aurez pas le droit de voir le panier de basket que j’ai complètement raté (et repassé au marqueur avant de le redessiner).
Notons aussi que notre héros est relativement difforme et qu’il est également beaucoup plus allongé qu’à l’épisode 9 (ce qui n’est pas forcément un mal puisque sa tête est encore trop grosse).
Les plis et drapés m’angoissent, mais j’y arriverai.
Et je vais finir par lui faire des cheveux potables.
Le plus agréable reste de poser les ombres au crayon.
Ces commentaires sont décidément indispensables.

Bonne nuit.

4 jours, crayon gris, marqueurs fin et moins fin, et papier naze.
Puis par ordinateur, éclaircissement/contraste (en particulier dans la lucarne) et texte.

C’est rapide et plaisant, mais quand même un peu cracra.