Archives de catégorie : Grandissime

C’est vraiment fascinant.

A bien y réflechir…   

Je crois que le vrai problème d’internet, c’est que c’est beaucoup trop gros, on ne peut pas tout lire.

Je crois que le vrai problème d’internet, c’est que c’est beaucoup trop gros, on ne peut pas tout lire.

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En résumé.   

Aujourd’hui, j’ai regardé une vidéo. « Tiens, une vidéo. » Y avait une voix off qui annonçait ce que les personnages allaient dire. « Oh, une voix off vient d’annoncer ce que j’allais dire. » C’était rythmé. « Séquence suivante : C’est rythmé. » Y avait … Continuer la lecture

Aujourd’hui, j’ai regardé une vidéo.
« Tiens, une vidéo. »
Y avait une voix off qui annonçait ce que les personnages allaient dire.
« Oh, une voix off vient d’annoncer ce que j’allais dire. »
C’était rythmé.
« Séquence suivante : C’est rythmé. »
Y avait des effets d’images qui défilent.
« Ti-ti-ti-ti-ti. »
Ca se voulait drôle.
« Aha, c’est drôle. »
Et c’était court.
« Voilà, c’est fini. »
Bref, j’ai vu une énième parodie de Bref, et ça m’a gravement saoulé.

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Le plus dur, c’est de trouver un titre.   

Plus ça va, plus je me demande à quoi doit ressembler une personne « saine d’esprit ». Non, parce que j’ai beau chercher dans les centaines de personnes que j’ai croisées au cours de ma vie… Ca doit faire bizarre de la … Continuer la lecture

Plus ça va, plus je me demande à quoi doit ressembler une personne « saine d’esprit ». Non, parce que j’ai beau chercher dans les centaines de personnes que j’ai croisées au cours de ma vie…
Ca doit faire bizarre de la rencontrer, ça doit être un expérience exceptionnelle. Ca doit sauter aux yeux. Elle doit briller de mille feux, dégager une aura de plénitude et de bien être, ou quelque chose de ce goût là.
En fait, le plus étonnant, c’est qu’elle ne soit pas déjà une célébrité mondiale… « La Personne Saine d’Esprit »…

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Orgueil   

On enfante pour ressentir un peu de bonheur, atténuer sa peur de la mort, et donner un peu de sens à sa vie. Le nouveau venu, qui jusqu’alors n’existait pas, ne désirait rien et n’avait besoin de rien, est catapulté … Continuer la lecture

On enfante pour ressentir un peu de bonheur, atténuer sa peur de la mort, et donner un peu de sens à sa vie.
Le nouveau venu, qui jusqu’alors n’existait pas, ne désirait rien et n’avait besoin de rien, est catapulté dans un univers absurde, injuste et vain, et, désormais condamné à mort, sera forcément tenté d’en faire autant.
Au fond, enfanter, c’est pratiquer une espèce de vente pyramidale.

Note 1 : L’adoption ne vient naturellement à l’esprit de personne.
Note 2 : On enfante en admettant implicitement qu’on sera un bon parent, qu’on ne transmettra que de bonnes choses, qu’il est indispensable qu’une part (majeure) de nous soit transmise (et notamment la part génétique), et que l’enfant, une fois adulte, sera bon, sain de corps et d’esprit, et mènera une vie heureuse (et qu’il aura une empreinte écologique négative…). Un résultat qui n’est pourtant obtenu qu’une fois sur 10 millions (et encore…).

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Rêves partis.   

Bonsoir. Ce soir : 1) J’ai les pieds qui puent. 2) J’en ai marre des gens qui racontent leurs rêves. En fait, j’en ai surtout marre des gens qui racontent leurs rêves en faisant « Non, mais c’était complètement dingue ! … Continuer la lecture

Bonsoir.

Ce soir :
1) J’ai les pieds qui puent.
2) J’en ai marre des gens qui racontent leurs rêves.
En fait, j’en ai surtout marre des gens qui racontent leurs rêves en faisant « Non, mais c’était complètement dingue ! Complètement dingue ! Il était trop fou, mon rêve ! Je comprends rien, ça veut dire quoi ?… ». Sérieusement, vous voulez savoir ? Le jour où vous ferez un rêve où il ne se passe que des choses banales et parfaitement cohérentes, c’est que vous êtes gravement malade, ou alors Dieu. Plutôt Dieu, d’ailleurs. Oui, je vous rassure, un rêve, ça part un peu dans tous les sens, parce que dans un rêve, la conscience, les capacités intellectuelles et la mémoire immédiate sont gravement altérées, alors oui, ça va piocher des éléments un peu partout, un peu au hasard, parfois dans vos « obsessions » et « angoisses » récurrentes ou présentes, mais pas forcément. Pas du tout forcément. Ca peut être ce que vous avez vu la veille, mais aussi dix ans plus tôt, ça peut être un mélange d’un milliard d’histoires ou d’idées d’histoires, ça peut être une pensée qui vous a traversé l’esprit, ça peut être des choses ou des gens que vous aimez bien, ou pas, ça peut même être le souvenir d’un rêve précédent. Ca peut aussi être la peur subite, spontanée, pendant le rêve, de voir l’histoire dévier vers quelque chose que vous redoutez, laquelle histoire, du coup, d’y avoir pensé,… dévie vers ce quelque chose redouté. Bref, ça peut être n’importe quoi. Littéralement, n’importe quoi. Et c’est assez normal que vos rêves partent un peu dans tous les sens, puisque dans un rêve, votre conscience étant un peu réduite à son plus strict minimum, vos capacités de mémorisation et de concentration (qui devraient vous permettre de maintenir le fil de votre histoire) deviennent à peu près égales à celle d’un petit bout de fromage (Disons du gouda, voilà… Vous devenez intelligent comme un petit cube de gouda, si ça peut vous aider à visualiser.). Donc non, il n’y a pas forcément un sens profond à tous vos rêves. Non, quand l’inconscient parle, il ne vous raconte pas toujours des trucs cruciaux et mystérieux en messages codés, que vous aviez refoulés parce que c’était vraiment trop douloureux (Au contraire, s’il y a quelque chose à en déduire, ce sont bien souvent des évidences dont vous étiez sans doute déjà conscient. Et j’aurais tendance à croire que si vous n’êtes pas capable de les démêler vous-même au réveil, votre inconscient n’était pas capable d’y cacher quoi que ce soit non plus. Ca reste votre tête à vous. Personne ne vient jouer avec pendant la nuit.). Non, vous n’avez pas plus d’imagination que n’importe qui. Non, votre inconscient n’est pas mille fois plus génial que vous-mêmes. Vous rêvez, c’est tout. Voilà, sachez-le.

Ceci étant dit, je vais vous raconter mon rêve de la nuit dernière.

Hier soir, je me suis endormi. Ensuite, j’ai rêvé que je me réveillais. Puis je me suis réveillé. Il était l’heure de me lever, je me suis levé.

Merci de m’avoir lu.

Bonjour.

PS : C’est faux. J’ai rêvé d’autres choses.

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Intubidablement   

#tuyautable input { margin-bottom :6px; margin-top :5px; vertical-align:bottom; } Tout à l’heure, alors que je regardais la table à skis (Je cherchais le caractère « TM » pour répondre à un message sur un autre site. Il n’a pas l’air d’exister.), je … Continuer la lecture

Tout à l’heure, alors que je regardais la table à skis (Je cherchais le caractère « TM » pour répondre à un message sur un autre site. Il n’a pas l’air d’exister.), je me suis rendu compte que l’utilité de certains caractères un peu bizarres n’était visiblement rien d’autre que de faire des dessins, et pour être précis, des dessins des tuyaux.
Alors voilà, je me suis dit que c’était super vraiment trop cool et que ça méritait bien un petit script ridicule pour les utiliser et vous faire partager ce bonheur de dessiner ces lutains de tuyaux. Donc je l’ai fait, ce petit script ridicule, et ça m’a pris, quoi, oh, à peine trois heures… Hmf. (Testé sur Mozilla Firefox 3.6 et IE8)

Pour l’utiliser, ben… vous cliquez sur les flèches pour déplacer le curseur, et sur les tuyaux pour poser les tuyaux. Il y a une certaine logique, finalement. Avec un peu de concentration, je pense que vous pouvez y arriver.
Et puis ensuite, quand c’est fini, pour sauvegarder votre dessin, vous pouvez sélectionner l’ensemble des caractères du tableau puis les copier avec un clic droit dans un fichier texte à vous même chez vous de votre ordinateur que vous utilisez personnellement.
Enfin si ça vous amuse. Ou alors si vous êtes plombier ou ingénieur en tuyauterie, ou je ne sais pas, si vous êtes autiste, schizophrène ou un truc.
C’est vraiment passionnant.

Je crois que c’est la plus belle chose que j’ai vue de toute ma vie.
Enjoy!

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Ils l’ont dit.   

«Ce n’est pas le chemin qui est difficile, c’est le difficile qui est le chemin.» Sören Kierkegaard « Il n’y a point de chemin vers le bonheur : le bonheur c’est le chemin. » Lao-Tseu Alors visiblement, il y a … Continuer la lecture

«Ce n’est pas le chemin qui est difficile, c’est le difficile qui est le chemin.» Sören Kierkegaard
« Il n’y a point de chemin vers le bonheur : le bonheur c’est le chemin. » Lao-Tseu

Alors visiblement, il y a deux chemins. Ou alors le difficile est bonheur. Je ne sais pas.

Mais ça m’inspire une parole pleine de sagesse :
« Ce n’est pas ton cul qui est gros, c’est le gros qui est ton cul. »
Souvenez-vous en.

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Prise de conscience   

Oh ben mince, en relisant ma série BD, là, le truc, je viens de me rendre compte qu’il se dégageait un thème central récurrent dans tous les épisodes. C’est dingue.

Oh ben mince, en relisant ma série BD, là, le truc, je viens de me rendre compte qu’il se dégageait un thème central récurrent dans tous les épisodes.

C’est dingue.

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Riguode et métheur   

Spoilers bis J’ai essayé d’appuyer sur ctrl + z sur ma gomme.

Spoilers bis

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Rigueur et méthode   

Spoilers Aujourd’hui, j’ai acheté une gomme.

Spoilers

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Méthode et rigueur   

Bon… Fort de mon expérience précédente (enfin non, pas la précédente, mais plutôt l’ante-précédente), j’en suis arrivé à la conclusion (plusieurs fois de suite, et de plus en plus fort) qu’il fallait que je change de méthode. Parce que non, … Continuer la lecture

Bon…

Fort de mon expérience précédente (enfin non, pas la précédente, mais plutôt l’ante-précédente), j’en suis arrivé à la conclusion (plusieurs fois de suite, et de plus en plus fort) qu’il fallait que je change de méthode. Parce que non, faire une planche de six cases en 4 semaines, ça n’est pas normal, ou en tout cas, ça n’est ni très productif ni très motivant (même si plaisant parfois). Je me suis surtout dit qu’il était sûrement possible d’améliorer ça.
Par exemple, en reprenant les bases : Pour dessiner, on utiliser une feuille et un crayon.
Alors bien sûr, l’avantage de la tablette graphique, c’est qu’on efface à volonté, on fait des calques, des copier coller, des zooms, et on n’a pas ces problèmes de légères nuances ombragées du scan. Bref, ça semble plus simple. Mais ça peut aussi être super frustrant : Le crayon ne pardonne pas, il ne dessine pas juste dessous ma main, là, non, il dessine au loin sur l’écran, pas aux mêmes proportions, et si tu veux pencher ton plan de travail parce que ta main a un angle préféré pour tracer des traits, ben je te souhaite bon courage, parce que l’écran, lui, tu ne le pencheras pas… Ah oui, et dessiner avec plus de quatre applications lancées en même temps, c’est très rigolo si tu veux voir ton crayon dessiner avec une seconde de décalage sur le pointeur… Quant à tracer des rectangles tout simples, avec Gimp, ben c’est encore plus galère… noter les coordonnées (calculées pour bien diviser la planche comme convenu) du premier point de la droite, déplacer la souris à l’autre bout de l’image avec le même x ou le même y, et au pixel près, s’il vous plait… Tu veux faire six cases… Bah, ça prend qu’une demie heure… Bon, bien sûr, tu reprends ton modèle de la fois précédente, mais si tu veux changer le modèle…

Bref.

Je me suis dit. On va tenter de l’hybride. Papier-crayon d’abord. Puis scan. Puis travail sur tablette. Le but étant d’éviter au maximum les phases frustrantes et démotivantes (i.e la phase 1 du dessin purement ordinateur, dite aussi « Putain de tablette de merde ! Con de stylet ! Qu’est-ce que c’est que cette chiotte ! », et la phase 2 du dessin purement papier, dite aussi « C’est vraiment caca comment je dessine… »), pour les remplacer par les phases épanouissantes (i.e la phase 1 du dessin purement papier, dite aussi « Oh, mon crayon réagit parfaitement à la grâce des coups d’esquisse de mon poignet. », et la phase 2 du dessin purement ordinateur dite aussi « Oh, je peux rendre une parfaite clarté à cette oeuvre, la transformant en tracés nets, et travailler avec plaisir sur ces calques ou ces effets d’ombrages. »).
Du moins, c’était l’idée.
L’idée aussi, c’est que je ne suis pas dessinateur ni peintre ni artiste, je ne prends pas de cours, je n’ai pas 20 ans de travail intensif en arts plastiques derrière moi, je pars de rien, et je me démotive facilement quand je me compare aux autres, donc autant commencer à la base plutôt que de se prendre trop au sérieux et plonger dans le ridicule. Ne pas se lancer dans des techniques de peinture, d’encre de chine, ou de je ne sais quoi. Crayon, papier. Point.

Plein de bonnes résolutions, je décide, hier dimanche, que dès qu’un magasin sera ouvert et à ma portée, j’irai me procurer du matériel convenable. Papier, j’en ai. Mais un crayon, quand même. Un crayon gris, crayon bois, quoi, là. Et puis une règle aussi. Pour les cases. Et un marqueur, pour finaliser en jolis traits. Quand même, le marqueur.
Oui, alors oui, parce que bon, quand même, j’ai de quoi écrire, dans mes affaires, je ne suis pas un pur homme de clavier. Depuis que j’ai quitté l’école, il m’arrive encore d’utiliser des crayons, assez régulièrement. Mais des bics. Ben oui, des bics, là. C’est une habitude que j’ai prise vers 15-16 ans, je n’écrivais plus qu’au bic. De toute façon, au plume, j’effaçais et réécrivais tellement souvent par dessus que ma feuille entière finissait couverte de blanco et de bic. Donc j’ai décidé de court-circuiter l’étape stylo-plume pour passer directement à l’étape bic. Tant qu’à être un gros crado du bic/blanco, autant assumer en bloc. J’ai donc toujours eu des bics et un vieux blanco qui traînait quelque part. Mais de crayon gris, point. A moins qu’il en traîne un vieux++ tout pourri quelque part aussi. Ailleurs. Mais bon. D’où le rachat.

Donc ce soir, quand le temps m’était donné de le faire, je cours me procurer ces objets dans un lieu de commerce adéquat. Des crayons gris (HB, 2B, H, un peu de tout, pour avoir le choix), un joli marqueur fin pour faire de beaux traits (et même deux, parce qu’ils sont vendus par paire), et même un autre joli marqueur pour faire des traits un tout petit peu plus gros (on sait jamais), et un puis une belle grande règle (propre) pour faire les cases. Et puis une équerre, aussi, pour les cases (les mêmes), tiens. Et oh ! Le taille-crayon, je ne sais plus si j’en ai encore un (pour le vieux++ crayon gris tout pourri qui traîne quelque part ailleurs). Voilà, je prends un joli petit taille-crayon mignon.
Fier de mon ensemble, je vais aux caisses, je paie, je retourne chez moi, je déballe, j’installe mon équipement autour de ma tablette graphique, bien proprement. Paré. Oui, ma tablette graphique sera mon plan de travail. Je dessinerai sur des feuilles A4, par dessus, elle est faite pour ça. Il est même possible que je ne passe même pas par l’intermédiaire du scanner, si je me contente de repasser par dessus le dessin avec mon stylet sur la tablette.
Tout est calculé au millimètre. Je suis un cerveau, un tacticien, un pur esprit, un ordinateur de l’an 3000. Je suis Albert Einstein, Ender, Paul Atréïde, Le Patricien. (Allez, vous avez bien deux références sur les 4…) Tout est sous contrôle, je suis LE MAITRE DU MONDE.

Je glande deux heures sur Facebook.
Non, mais ça, ça compte pas. C’est normal. Ca s’impute dans les frais. Hop, hop, on a rien vu.

Bon. Je me mets au boulot. Je m’installe. Je prends mon crayon gris tout beau tout neuf, ma règle et mon équerre toutes belles toutes neuves. Je dessine la séparation de la feuille en six espaces égaux, qui permettront ensuite d’y faire de jolies cases.
Fait.
Je dessine le premier trait de ma première case. Ah effectivement, sans règle, je suis toujours aussi incapable que d’habitude de faire un trait bien droit. Parkinson, me voilà.

Bah, pas de problème, je maîtrise, no souçaï, je vais prendre ma gomme.

Ma gomme.

Gomme.

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Perplextive 2   

Allez, je vous l’ai même redessinée de mémoire, juste pour le plaisir. Si on l’imagine de dos et volant dans les airs, ça va encore, notez bien.

Allez, je vous l’ai même redessinée de mémoire, juste pour le plaisir.

Si on l’imagine de dos et volant dans les airs, ça va encore, notez bien.

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Perplextive   

Oh ben tiens, tout à l’heure, j’ai dessiné une chaise, et je me demandais pourquoi elle m’avait l’air si bizarre. Ensuite je me suis dit que ben non, pour un bon effet de perspective, on ne dessine pas ce qui … Continuer la lecture

Oh ben tiens, tout à l’heure, j’ai dessiné une chaise, et je me demandais pourquoi elle m’avait l’air si bizarre. Ensuite je me suis dit que ben non, pour un bon effet de perspective, on ne dessine pas ce qui se trouve en premier plan en plus petit qu’au fond.

Je crois que j’ai besoin de retourner prendre des cours de dessin en maternelle.

Oh, nom d’un petit Jésus, je viens de recommencer à livrer des détails totalement personnels de ma vie privée ! C’est honteux, quelle impudeur ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah…

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